Le confinement nous contraint une fois de plus à un voyage immobile aux confins du jardin, à la découverte de ses innombrables hôtes. Des braiments mélancoliques de Mousse, l’âne taciturne aux grognements amicaux de Caillette, la truie gourmande, en passant par les atermoiements de Caroline Ingalls et le chant du torrent.